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11 janvier 2009 7 11 /01 /janvier /2009 17:41

Interrogé sur la question mahoraise, et précisément sur le référendum de Mars prochain traitant de l’évolution statutaire de Mayotte,  lors d’une conférence de presse tenue au Palais de Beit-Salam, le jeudi 8 janvier 2009, le Président Sambi, a laissé entendre que  « c’est la loi du plus fort qui a pris le dessus sur la concertation ou le droit international » et de dire   « que cette consultation ait lieu ou pas, le résultat est le même pour moi, mon gouvernement et le peuple comorien : elle est nulle et non avenue, comme elle l’est pour l’Onu et toutes les organisations internationales qui reconnaissent la souveraineté des Comores sur un archipel de quatre îles, dont Mayotte ».

 

                                                             Darkaoui

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J
UNION DES COMORES <br /> SAMBI / Référendum <br /> <br /> Ngazidja prend position ------------------- Les Mohéliens venaient d’abattre la semaine dernière un bœuf noir à la Place Publique de Fomboni-Moili suivi de la lecture d’un « Hitma » (verset de coran) pour celer leur Solidarité contre les Inégalités de SAMBI et rejeter le déroulement du Référendum anticonstitutionnel décrété pour le 22 mars 2009 aux Comores. Ngazidja vient d’emboiter le pas ce mercredi 18 février à la Place Publique de la ville historique de référence d’Iconi-Ngazidja avec un ton arrogant, deux nouveautés appréciables certes et une innovation objet d’interrogations. Les deux nouveautés appréciables certes : Première nouveauté : Ngazidja vient enfin de faire le même constat, celui déjà fait par les Anjouanais en 2007 et qui a valu casses, vandalisme et tueries à Anjouan pour un SAMBI hors la loi, roulant sur les pistes du non droit. Avec l’anticonstitutionnalité du décret portant convocation d’un Référendum le 22 mars 2009, Ngazidja hausse le ton et ordonne la désobéissance civique au cas où SAMBI n’annule pas son Référendum. Toutes les casses conséquentes ne sont pas écartées. Deuxième nouveauté : Enfin, après Anjouan, la destitution de SAMBI devient d’actualité pour un Président SAMBI qui défie la Constitution de son pays et les lois de la République avec les lobbies reprochables qui ont présidé aux mutations successives au sein de la Cour Constitutionnelle passée d’une Présidence de Sourette, à Mouzaoir Abdallah ensuite au Colonel Abdou Razak en une année, et les transactions législatives sur la naturalisation de mercenaires arabes. L’innovation avec ses interrogations : Un Anjouanais a eu droit à la parole au cours du meeting d’Iconi. L’innovation est le fait que l’Anjouanais en question n’est autre que Monsieur Ibrahim HALIDI ancien Ministre du dernier Gouvernement de Mohamed Bacar formé après l’élection du 10 juin 2007 contesté par Ngazidja, Moili et Madeira de l’UA. Ledit Anjouanais faisait partie des personnalités politiques Anjouanaise dont les têtes étaient mises à prix par SAMBI en accord avec Ngazidja, Moili et Madeira de l’UA. Il est à rappeler les déclarations faites par la Classe Politique de Ngazidja lors des différends meeting à la place de l’Indépendance du Building autorisant SAMBI à ouvrir le feu sur Anjouan pour se débarrasser y compris mortellement des Autorités Anjouanaises en place en 2007 à Anjouan dont Ibrahim HALIDI. Il était même sollicité de faire transporter à Ngazidja les cadavres des dites personnalités pour les trainer dans les ruelles de Moroni. Pour ce qui précède, La Jeunesse Anjouanaise Avertie note avec une prudence recommandable l’évolution actuelle de la situation à Moili et à Ngazidja. Mais la manière dont le débarquement de mars 2009 a été conçu avec les cautions politiques Comoriennes consenties à SAMBI pour la circonstance dicte une attention particulière pour une garantie réelle de la suite des événements. La Jeunesse Anjouanaise Avertie voudrait poser trois questions à son minosaure Anjouanais intervenant du meeting d’Iconi du 18 février 2009 : - 1ère question : est-ce qu’il a négocié son héroïsme avec Ngazidja et ainsi la page est tournée pour tout ce qu’on a infligé à l’Ile d’Anjouan et aux enfants d’Anjouan en mars 2008 ? - 2ème question : est-ce une démarche strictement personnelle pour rentabiliser à son compte la cavale de ses compagnons et ainsi tourner sa propre page de l’histoire de la période de juin 2007 à mars 2008 ? - 3ème question : faut-il verser ce comportement au compte d’une réaction de choc pour nous qui ont le goût d’intervenir dans pareilles circonstances même si nous n’avons pas de message ? (PAR INTERNET J’ATTENDS UNE REPONSE A MA LETTRE ET MES 3 QUESTIONS) La Jeunesse Anjouanaise Avertie exprime quelques regrets du fait que leur grand frère, unique Anjouanais admis à prendre la parole au cours du meeting et comme d’ailleurs tous les orateurs qui se sont succédés devant le micro, ait oublié d’invoquer les cas des siens encore sous les séquestrations de SAMBI et ses complices dans le camp de Kandrani sous cellules, à quelques mètres de là où il intervenait ; Il ne s’est pas rappelé encore de ses compagnons que SAMBI fait croupir là bas … loin du pays, ceux qui ont perdu la vie, handicapés à vie, disparus et encore ceux et celles qui ont les larmes à leurs yeux pour les blessures des différentes catégories d’humiliations et d’indignations infligées. (Je demande leur libération sans condition) Ils auraient mérité un hommage pour les uns et une prière solennelle pour ceux qui ont perdu la vie. Ce sont ces oublis dans pareilles circonstances qui constituent le cumul de rancœurs susceptibles d’entamer la qualité des relations futures. Merci Ngazidja, merci Iconi pour l’accueil du meeting historique du mercredi 18 février 2009<br /> Jeunesse Anjouanaise Avertie<br /> <br /> <br /> UNION DES COMORES SAMBI /<br /> Référendum Constitutionnel<br /> Le double jeu de Madeira et SAMBI<br /> <br /> SAMBI et Madeira viennent de lancer un double défi à l’UA et aux la Classes Politiques de Ngazidja et Moili. Par la même occasion, SAMBI vient de laver l’équipe politique à la tête d’Anjouan de juin 2007 à mars 2008. De juin 2007 à mars 2008, les responsables Anjouanais ont tout fait pour convaincre les opinions politiques Nationale et Internationale sur le comportement de non droit de SAMBI pendant que SAMBI endormait tout le monde en le plaçant sur le terrain d’un comportement séparatiste des responsables anjouanais. SAMBI a fini par l’emporter et tout le monde uni, Anjouan est frappée et les responsables anjouanais pourchassés pour être liquidés au nom du nationalisme comorien et de l’UA. Moins d’une année, J.A.A se félicite du constat actuel des Classes politiques de Ngazidja et Moili, lesquelles viennent de succéder aux ex-autorités anjouanaises dans leur combat contre le comportement de non-droit de SAMBI. SAMBI avait toujours compris que son seul obstacle était l’Equipe en place à Anjouan en 2007- 2008 et une fois leur délogement exécuté, SAMBI s’est mis à se balader aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, à l’UA et partout ailleurs en Iran, en Tanzanie, au Soudan…. Du coup les pouvoirs des Iles c’est SAMBI, le Législatif c’est lui, (amalgame loi sur naturalisation apatrides) , le Judiciaire c’est lui et finalement la Constitution c’est lui. SAMBI en dispose comme il l’entend car Mohamed Bacar et son équipe ne sont plus là. SAMBI convoque un Référendum au mépris de la Constitution en son article 37. Les Classes Politiques de Ngazidja et Moili sont mises à terre et la Loi Fondamentale des Comores volatilisée. Ngazidja et Moili se seraient (au conditionnel) réveillées pour limiter les dégâts. La coalition d’hier contre un homme, contre un équipe et contre une Ile (Anjouan ) ne semble être au rendez-vous pour la défense de la Loi Fondamentale du pays et contre le bradage du territoire à des apatrides. Des voix s’élèveraient, y compris parait-il celle de l’UA à travers les verbillages contradictoires et éhontés de Francisco Madeira. Du courage pour ce combat mais n’arrêtez pas de vous retourner pour surveiller ce que Madeira fomentera derrière vous. Madeira est avec vous, avec SAMBI et avec l’UA. Attention ! J.A.A était convaincue de l’évolution des Classes Politiques de Ngazidja et Moili et avait cru que Madeira avait terminé sa mission aux Comores. Et pourtant il continue à faire jouer les comoriens à sa guise. Attention ! Pendant que Madeira installait la Classe Politique Comorienne dans une demarche de table-ronde, J.A.A l’a aperçu à Beït Salam conclure un référendum avec Sambi. Un adage : « ce ne sont pas ceux qui sont morts qui vont encore mourir ; ce sont les vivants qui le seront ». Avec les barrons politiques de Ngazidja, il faut voir pour croire et SAMBI l’a ainsi compris.<br /> Jeunesse Anjouanaise Avertie<br /> <br /> <br /> Union des Comores <br /> <br /> Ngazidja / SAMBI /<br /> UA Divorce ou bouderie<br /> <br /> L’histoire en est témoin, Ngazidja toute entière a fait jusqu’ici son choix sur SAMBI contre toute une Ile-Anjouan, contre toute une population au risque d’entamer biens et vies des anjouanaises et anjouanais. Le choix était clair : que tout soit démoli à Anjouan, que tous les anjouanais périssent ; l’essentiel que la terre anjouanaise soit remorquée par SAMBI pour être durablement attachée à…., et être condamnée à la soumission. Revenons-en sur les faits : Ngazidja et SAMBI -En 2006, aussitôt SAMBI élu, il a bénéficié du parrainage de Ngazidja pour déposer le Président anjouanais de la Cour Constitutionnel Monsieur Sourette et attribuer le poste à un grand comorien. On avait invoqué, « équilibre des chefs des Institutions aux Comores ». Jamais, ni dans la Constitution de l’Union, ni dans la loi organique portant organisation de la Cour Constitutionnelle, ni le règlement intérieur portant fonctionnement de ladite Cour n’avait prévu une tournante des Chefs des Institutions : il fallait violer la loi pour récupérer le poste. Ngazidja accompagne cette dynamique et l’UA entérine. -Fin 2006, SAMBI entame sa démarche pour enterrer la Constitution consensuelle de 2001 sous les regards complices de Ngazidja, en s’attaquant au Code électoral consensuel pour s’arroger tous les pouvoirs dévolus aux Iles surtout en matière de convocation des scrutins locaux. Ainsi SAMBI avait donné un signal fort pour la mise en route de son royaume. Ngazidja ferme de nouveau les yeux ; l’UA entérine de nouveau. -Premier Trimestre 2007 : le même SAMBI qui a révisé le code électoral pour s’approprier les pouvoirs de convocation des scrutins locaux s’arrange pour ne pas convoquer le collège électoral des Présidents des Iles jusqu’à l’expiration du mandat du Président d’Anjouan. SAMBI diligente des émeutes à Hombo-Anjouan, pose une problématique de fin de mandat et accouche son propre texte pour une soi-disant transition comme si c’est le Président d’Anjouan qui avait fauté en n’ayant pas convoqué le scrutin dans les délais. Ngazidja et l’UA s’interposent pour une médiation et imposent comme « solution juridique » la mise à l’écart de la Constitution d’Anjouan et déposent le Président Mohamed Bacar comme le voulait SAMBI. Tenez-vous bien, c’est le Président de la Cour Constitutionnelle Putschiste Mouzaoir Abdallah qui présida la séance consacrée au départ du Président Constitutionnel d’Anjouan sous le regard trompeur de son excellence Francisco Madeira bien entouré de ses alliés. La complicité contre Anjouan allait devenir criante lorsque les mandats des Présidents de Ngazidja et Moili expirent sans que la loi de la démission ne leur soit appliquée comme le cas d’Anjouan. -Juin 2007, en violation de son propre code électoral en son article 80, SAMBI reporte les élections d’Anjouan sans l’avis conforme de la Commission Electorale Insulaire d’Anjouan. Ngazidja et l’UA se rangent du côté de SAMBI pour soutenir encore une fois le non-droit. -En mars 2008, Ngazidja, Moili et l’UA se mettent toutes d’accord pour bombarder Anjouan et les anjouanais au nom du nationalisme comorien et universel qui autoriserait même des éliminations physique et pour s’assurer que les survivants de l’Ile d’Anjouan se mettent à genoux comme le sont actuellement. -En 2009, SAMBI estime que les plus forts ne sont plus là, sa route vers l’instauration d’un royaume comorien et sa propre intronisation est grandement ouverte. SAMBI décide se balader : il se rédige sa propre constitution et impose son référendum constitutionnel suivant sa propre procédure et son propre calendrier. Pendant que le conseil de Ministres de SAMBI délibérait le 14 février 2009 sur la date du référendum Constitutionnel annoncé pour le 22 mars 2009, l’UA de Madeira réunissait son forum habituel pour débattre d’une tenue d’une table ronde Constitutionnelle aux Comores. Les mauvaises langues disent même que l’UA de Madeira est en connivence avec SAMBI pour tromper la vigilance de Ngazidja et Moili : - Moili s’insurge et crie au voleur de sa tournante. - Ngazidja fait des muscles pour n’avoir été mise dans le bain par ses compagnons de toujours SAMBI et l’UA de ce dernier coup contre les intérêts de la suprématie de Ngazidja, et de la République. Réflexion Au fait, une lecture de la situation laisse croire que SAMBI et Ngazidja divergent pour ce qui est du but final mais sont de connivence pour ce qui est du parcours, de l’itinéraire : Ngazidja accompagnait SAMBI croyant le tromper pour que les Comores reviennent au centralisme politique et administratif d’hier avec le retour de la Présidence des Comores à un grand comorien. Par contre SAMBI collabore avec Ngazidja croyant la tromper pour s’arroger un statut comorien devant lui consacrer un pouvoir à vie avec ses apatrides naturalisés comoriens par un holdup parlementaire .Qui l’emportera : SAMBI-UA ? Ngazidja ? Les Comores ? Il faut voir pour croire. Jeunesse Anjouanaise Avertie
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